Façonner les Attentes

se référer à la légende
Forfait de Noël avec le « coupon » requis ci-joint
Avec l'aimable autorisation des Archives nationales

Pour contrôler la quantité croissante de courrier sans affecter négativement le moral, les responsables ont imposé des limites au courrier des colis pour l'AEF. À partir d'avril 1918, les militaires déployés doivent soumettre des demandes de colis et faire approuver les articles par les commandants. À l'automne 1918, une mesure supplémentaire a été introduite avec l'aide de la Croix-Rouge pour aider à la ruée vers le courrier de Noël. Un membre du service AEF pourrait demander un formulaire, communément appelé « coupon », à envoyer chez lui pour demander une boîte de cadeaux de trois livres. Plus tard, des amis ou des membres de la famille ont été autorisés à demander le formulaire d'autorisation d'envoi d'un colis de vacances à leurs proches à l'étranger.

Le sergent Clyde Eoff posant pour une photo

« On m'informe qu'il y aura un certain type de coffret de Noël à nous envoyer cette année. Vous n'avez pas besoin de vous soucier d'envoyer quoi que ce soit car nous avons tout ce dont nous avons besoin pour le moment. »
~Sergent Clyde Eoff à sa sœur Joséphine, 28 septembre 1918
Courtesy Center for American War Letters, Leatherby Libraries, Chapman University, CA

Journée d'envoi spéciale

se référer à la légende
Les membres de l'AEF font la queue pour envoyer des lettres spéciales "fête des pères".
Avec l'aimable autorisation des Archives nationales

Le courrier est allé dans les deux sens pendant la Première Guerre mondiale. À partir de novembre 1918, la poste, l'armée et les organisations caritatives ont collaboré pour organiser une campagne de rédaction de lettres pour une date limite d'envoi spécialement désignée, appelée « fête des pères ». Ils ont incité le personnel de l'AEF à envoyer des messages à leurs pères et les postiers se sont engagés à livrer les lettres avant Noël.